Publié par : 
Gergana Ivanova 9 minutes
Sommaire de l'article
En manque de fer ? Au creux de l’hiver, nombreux sont ceux qui attendent le retour du printemps pour retrouver l’énergie et le teint lumineux associés aux jours ensoleillés. Cependant, si vous ressentez une fatigue persistante, une faiblesse généralisée ou que votre teint reste pâle, le problème pourrait être plus profond qu’une simple fatigue hivernale.
Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’anémie affecte environ 20% de la population mondiale. La carence en fer, aussi appelée anémie ferriprive, survient lorsque les réserves de fer dans le sang sont insuffisantes pour couvrir l’ensemble des besoins de l’organisme.
Essentiel à la production de globules rouges et d’hémoglobine dans le sang, cet oligo-élément permet de transporter efficacement l’oxygène vers toutes les cellules. Un manque de fer limite l’oxygénation des organes, ce qui peut entraîner fatigue, pâleur, essoufflement, voire des vertiges.
Dans cet article, nous examinerons le rôle de ce micronutriment nécessaire à votre organisme, les causes potentielles d’une carence, les signes qui doivent alerter, et les stratégies nutritionnelles pour soutenir une bonne absorption du fer et prévenir l’anémie.
Un corps en manque de fer manifeste son déséquilibre à travers une variété de symptômes qui, même légers, ne doivent pas être ignorés. La fatigue représente souvent le premier indicateur. Néanmoins, elle s’accompagne fréquemment de vertiges, d’essoufflement, de maux de tête, d’acouphènes et/ou de difficultés de concentration.
Cette déficience impacte aussi l’humeur, pouvant engendrer une irritabilité ou une tendance dépressive, des éléments souvent sous-estimés dans le diagnostic de l’anémie ferriprive.
La pâleur cutanée constitue un autre signe révélateur, tout comme le syndrome des jambes sans repos, qui se manifeste par un besoin irrésistible de bouger les jambes. Cette sensation peut perturber le sommeil et augmenter l’inconfort général.
Une perte d’endurance survient également, rendant l’effort et certaines activités quotidiennes plus éprouvantes. Dans les cas de carence prolongée et sévère, le cœur peut être affaibli, augmentant le risque cardiovasculaire à long terme (souffle systolique cardiaque, risque d’œdème des membres inférieurs…).
Il est essentiel de rester vigilant face à ces inconforts. Si ces signes se manifestent de façon récurrente, il est conseillé de consulter un médecin pour un diagnostic et une prise en charge. En agissant tôt, on peut prévenir des complications liées à la carence martiale.
Le moyen le plus fiable pour diagnostiquer une carence en fer consiste à réaliser une prise de sang. Cette analyse permet de mesurer le taux de ferritine, ainsi que d’autres paramètres liés à l’absorption du fer.
Une fois les examens sanguins effectués, l’étape suivante consiste à identifier les causes possibles de l’anémie, telles que des pertes de sang d’origine gynécologique (notamment en cas de règles abondantes) ou digestive.
Certaines personnes sont plus exposées au risque d’anémie ferriprive.
D’une part, les femmes en âge de procréer sont particulièrement vulnérables, car leurs besoins en fer augmentent en raison des menstruations. Durant la grossesse, ils s’intensifient encore davantage. En effet, l’organisme féminin doit non seulement soutenir son propre métabolisme, mais aussi répondre aux exigences croissantes du fœtus en développement.
Un déficit en fer chez les femmes enceintes peut augmenter le risque de naissance prématurée et de faible poids à la naissance. Les troubles du métabolisme du fer sont également fréquents chez l’enfant. Une déficience peut se traduire par de l’hyperactivité et le trouble de déficit de l’attention (TDAH).
Les personnes âgées, souvent sujettes à des déficits en certains nutriments et parfois confrontées à des troubles d’absorption, présentent également un risque. De même, les patients atteints de maladies inflammatoires intestinales voient également leur capacité d’absorption du fer compromise.
Enfin, les personnes suivant un régime alimentaire végétarien ou végétalien doivent aussi rester attentives à leur apport en fer. En effet, on distingue le fer héminique, présent principalement dans les produits d’origine animale (comme la viande rouge, le poisson ou les fruits de mer), et le fer non héminique, trouvé dans des sources végétales (telles que les légumineuses, les céréales, ou les légumes à feuilles). Le fer héminique est plus facilement absorbé par l’organisme, contrairement au fer non héminique, qui nécessite un apport plus élevé pour être efficacement utilisé.
La première solution pour contrer une carence en fer passe par l’alimentation. Consommer des aliments riches en fer est essentiel. Parmi les sources animales, on privilégiera la viande rouge, le foie, le poulet, et les huîtres. Pour les végétariens, les lentilles, les haricots, le tofu, et les noix constituent de bonnes alternatives végétales.
L’assimilation du fer peut être optimisée en combinant des aliments riches en fer avec des sources de vitamine C, comme les agrumes ou les poivrons. Une alimentation enrichie en vitamine C favorise une absorption optimale du fer non héminique, plus difficile à absorber pour le corps. De plus, pour augmenter votre taux de fer, il est conseillé de privilégier certains aliments tels que la spiruline, l’épinard, ou encore le boudin noir, tous très riches en fer.
Enfin, il est conseillé de limiter la consommation de thé, de café et de calcium durant les repas, car ces substances freinent l’absorption du fer. Laisser un intervalle d’environ deux heures entre la consommation de ces produits et les repas riches en fer peut significativement améliorer la disponibilité du fer pour l’organisme.
Dans certains cas, une supplémentation en fer peut être nécessaire. Les compléments à base de ce micronutriment permettent de répondre à une demande accrue, en particulier en cas de carence martiale avérée ou lors de périodes de croissance, de grossesse, ou de règles abondantes. La prise de comprimés de fer est une solution pratique pour obtenir une dose suffisante de cet oligo-élément vital.
Cependant, il est conseillé de demander conseil à un médecin avant de prendre des suppléments et de ne pas dépasser la dose recommandée afin d’éviter un excès de fer, qui peut aussi avoir des effets néfastes sur l’organisme, tels que des troubles gastro-intestinaux (nausées, constipation, diarrhée).
Chez Vitanutrics, nous avons développé VITAFER Complex®. Ce complément alimentaire se distingue par sa biodisponibilité exceptionnelle, grâce à l’utilisation du bisglycinate de fer, une forme de fer chélaté hautement absorbable (>90%), bien supérieure aux formes classiques comme le sulfate de fer (27%) ou le fer héminique d’origine animale (environ 25%).(1)
Cette forme chélatée de fer évite l’oxydation et la précipitation du fer, garantissant ainsi une absorption optimale par l’organisme.(2) Pour maximiser encore cette biodisponibilité, la vitamine C, sous forme d’Acérola, est intégrée pour renforcer l’absorption du fer non-héminique, particulièrement présent dans les végétaux, et pour prévenir son oxydation.
VITAFER Complex® n’est pas seulement une source de fer, mais également un complexe complet qui soutient la synthèse des globules rouges. Grâce aux vitamines B2, B6, B8 (biotine), B9 (folates) et B12, ce supplément favorise l’érythropoïèse.
Ce processus de production des globules rouges est capital pour lutter contre les déficits en fer et maintenir un taux d’hémoglobine optimal. De plus, la chlorophylle, dont la structure ressemble à celle de l’hémoglobine, aide au transport intracellulaire du fer, participant ainsi à son efficacité.(3)
Ce complément est particulièrement recommandé en cas de carence ou insuffisance en fer, de fatigue liée à un manque de fer, de faible taux d’hématocrite et d’hémoglobine, ainsi que pour soutenir les femmes enceintes et les personnes ayant un besoin accru en fer. Il est également utile pour les enfants souffrant de troubles de la concentration ou d’hyperactivité, souvent associés à un déficit en fer et en dopamine.
Outre sa biodisponibilité remarquable, ce supplément garantit une très bonne tolérance, sans effets secondaires digestifs (tels que constipation, diarrhée ou mauvais goût). VITAFER Complex® offre ainsi une solution innovante pour soutenir l’équilibre en fer de l’organisme tout en favorisant une meilleure santé générale.
En résumé, pour remédier à une carence en fer, une alimentation équilibrée et variée, associée à une supplémentation en fer si nécessaire, permet de maintenir des niveaux de fer optimaux et d’éviter les complications liées à cette déficience. Un suivi régulier par des examens sanguins est essentiel pour ajuster votre régime et garantir une assimilation du fer optimale.
Sources scientifiques :
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